« Je suis meilleure que certains rappeurs mais personne n’aura l’honnêteté de le dire ! ».
Elles s’appellent Milly Parkeur, L7, Nanor, Juste Shani ou La Giu. Elles ont grandi en cité ou à la campagne, à Paris, Lomé ou Clermont-Ferrand… Elles font partie des 10 finalistes de « Rappeuses en liberté ». 10 kickeuses engagées, drôles et provocantes. Qui gagnera le concours et s'ouvrira les portes du rap game?
Micro en main, Juste Shani déboite tout. En attendant de vivre de sa musique elle bosse dans le marketing et enchaîne les réunions à haute teneur en anglicismes…
A première vue elle a l’air sage et posée. Mais la future avocate de 26 ans cache bien son jeu. Originaire du Togo, MILLY PARKEUR écrit bien et kicke sale.
« Elles m’ont prise pour une bimbo » et Sheyni, elle s’en fout ! Derrière le make-up et le botox, derrière ses lyrics plus qu’explicites, une rappeuse qui a des raisons de se révolter.
Tout a commencé dans sa chambre d’ado à Clermont-Ferrand : Diam’s en boucle à chaque coup de blues. Quelques années et quelques open mic plus tard, Illustre a trouvé son style : flow mitraillette et textes ultra-sensibles.
C’est un drame personnel qui l’a poussé à écrire. Nanor pose ses premiers textes sur des instrus trouvées sur YouTube. La jeune rappeuse de Montpellier a forcé sa nature pour participer au concours. Quand Nanor kicke, sa timidité s’envole.
Orelsan l’a prouvé : le rap made in Normandie a de l'avenir ! Le Z bosse dans un café à Rouen mais rêve de feat avec SCH. Elle veut gagner le concours mais kiffe les 9 autres finalistes.
Bref y a pas qu’en Belgique que les cœurs dansent la Macarena…
Pour elle, rapper c’est la plus belle des libertés. Maey a failli ne pas participer au concours et elle explique pourquoi. Elle est finalement là. Prête à en découdre. Les finales approchent et la tension monte.
À Genève, elle vit en bande. En freestyle L7 éclate tous ses potes. Elle veut gagner le concours pour quitter la « street ».
Micro en main, Juste Shani déboite tout. En attendant de vivre de sa musique elle bosse dans le marketing et enchaîne les réunions à haute teneur en anglicismes…
A première vue elle a l’air sage et posée. Mais la future avocate de 26 ans cache bien son jeu. Originaire du Togo, MILLY PARKEUR écrit bien et kicke sale.
« Elles m’ont prise pour une bimbo » et Sheyni, elle s’en fout ! Derrière le make-up et le botox, derrière ses lyrics plus qu’explicites, une rappeuse qui a des raisons de se révolter.
Tout a commencé dans sa chambre d’ado à Clermont-Ferrand : Diam’s en boucle à chaque coup de blues. Quelques années et quelques open mic plus tard, Illustre a trouvé son style : flow mitraillette et textes ultra-sensibles.
Dans ses textes l’intello de la team parle de sexe et d’égalité. La Giù veut faire bouger les lignes du rap game et donne tout pour y arriver.
C’est un drame personnel qui l’a poussé à écrire. Nanor pose ses premiers textes sur des instrus trouvées sur YouTube. La jeune rappeuse de Montpellier a forcé sa nature pour participer au concours. Quand Nanor kicke, sa timidité s’envole.
Orelsan l’a prouvé : le rap made in Normandie a de l'avenir ! Le Z bosse dans un café à Rouen mais rêve de feat avec SCH. Elle veut gagner le concours mais kiffe les 9 autres finalistes.
Bref y a pas qu’en Belgique que les cœurs dansent la Macarena…
Pour elle, rapper c’est la plus belle des libertés. Maey a failli ne pas participer au concours et elle explique pourquoi. Elle est finalement là. Prête à en découdre. Les finales approchent et la tension monte.
Mando dansait avant de rapper. Dans le Nord de la France elle écume les battles. À Paris, à quelques jours jours de la finale, elle vise le sommet.
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